Jules Koundé : « On t’envoie faire des centres pour des Jérémy Ménez, des mecs qui ont été cools, mais qui me disaient ‘Tu vas arrêter d’envoyer des saucisses’ (rires) » | OneFootball

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·17. November 2024

Jules Koundé : « On t’envoie faire des centres pour des Jérémy Ménez, des mecs qui ont été cools, mais qui me disaient ‘Tu vas arrêter d’envoyer des saucisses’ (rires) »

Artikelbild:Jules Koundé : « On t’envoie faire des centres pour des Jérémy Ménez, des mecs qui ont été cools, mais qui me disaient ‘Tu vas arrêter d’envoyer des saucisses’ (rires) »

Dans l’émission The Bridge sur YouTube, Jules Koundé, défenseur formé aux Girondins de Bordeaux, était invité par Aurélien Tchouameni, co-présentateur, en compagnie d’autres invités avec Ousmane Dembélé et l’humoriste et acteur Thomas Ngijol. Il est notamment revenu sur ses débuts en pro dans le football avec les Girondins de Bordeaux.

« Oui je n’ai jamais été celui sur qui on misait, mais à chaque fois j’ai toujours franchi les étapes. Il y a eu des contretemps, je pense notamment à ce poste qui reste toujours quelque chose d’important dans mon parcours et dans ma carrière. J’ai été formé toute ma carrière en tant que défenseur central et c’est arrivé en CFA, en réserve, parce qu’il y avait un nouveau coach qui me voyait plus latéral droit. Ça a été difficile à gérer parce que c’est aussi une question de confiance en soi. Je me rappelle que j’allais m’entraîner avec les pros, latéral droit j’avais très peu d’expérience à ce poste. Quand tu vas t’entraîner avec les pros c’est déjà impressionnant. De jouer ton poste c’est déjà difficile et quand en plus on te met à une position qui n’est pas la tienne… J’étais encore en développement physiquement. On t’envoie faire des centres pour des Jérémy Ménez, des mecs qui ont été cools, mais qui me disaient ‘Tu vas arrêter d’envoyer des saucisses’ (rires). Je m’en rappelle. Maintenant quand j’y repense, ce sont aussi des choses qui m’ont permis de progresser parce que j’ai toujours eu des gens qui étaient exigeants avec moi et avec les jeunes. Je pense à Jocelyn Gourvennec et Eric Blahic, mes premiers coachs en pro. Ils ont toujours été sur nous. Ils ont été plus durs avec nous qu’ils ne l’étaient avec les anciens. Je me rappelle de circuits techniques, tu manquais une passe on t’incendiait alors que les autres en avaient manqué cinq avant. Ça t’apprend à être exigeant avec toi-même et ça te fait progresser. »

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