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·19. Januar 2025
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Après la belle victoire des Girondins, Bruno Irles souligne que l'équipe n'est pas encore assez sereine, et qu'il a dû les secouer à la pause. Il évoque la blessure d'Andy Carroll, et place un mot sur le mercato d'hiver.
Bruno Irles sur Forever : "Ce fut long, ce fut compliqué, alors encore une fois, on est sur ce type de rencontre où tout n'est pas parfait de notre part. À la fin de la première période, on calcule trop, on attend trop, et nous avons tendance à reculer, et c'est inconscient. Je les ai assez secoués à la mi-temps parce que je voulais gagner la seconde période et ne pas subir ce qu'on a pu subir avec un faux penalty ou un but à la rache sur les dernières minutes.
Il faut qu'on arrive à se faciliter ce genre de match, et ce n'est pas encore le cas. Malgré ça, on est là, on a rectifié le tir, par rapport à il y a quinze jours, et on se rapproche de la tête. Encore une fois, on est très loin, on perd Andy ce soir."
"On ne se pose la question de savoir si l'équipe est meilleure avec ou sans Andy, on le sait, l'équipe est meilleure avec Andy, elle nous offre une possibilité avec le jeu long, mais aussi par rapport à la finition qu'il apporte. Mais nous avons d'autres solutions, on l'a prouvé ce soir par moment, j'aimerais qu'on progresse dans ce jeu de transition pour faire mal aussi sur ces phases-là. On va devoir se réinventer, on va devoir vite intégrer les nouveaux, en espérant qu'ils soient qualifiés."
"Amadou Diallo est dans une période de moins bien. En faisant rentrer Issam Ben Khémis, j'ai cette volonté de garder un peu plus le ballon, lui il peut venir, créer un surnombre au milieu de terrain à ce moment-là. Justement, Issam a la qualité pour venir du milieu pour faire ce surnombre."
"La perte de Carroll, on va la compenser avec ces nouvelles arrivées, puis Yanis (Merdji) est efficace, mais Yanis aussi se sent bien avec Andy, donc il va falloir créer ces connexions qu'il a déjà avec ses coéquipiers, pour les créer aussi avec les nouveaux arrivants. Cela sera mon travail, toute la semaine, même s'il a commencé la semaine dernière, pour avoir une efficacité offensive."
"Être proche de la tête compte psychologiquement, mais on ne peut pas dire qu'on soit serein. Je n'ai pas passé un match assis tranquillement sur mon banc. Serons-nous un moment donné serein, je ne pense pas, et encore plus à l'extérieur, par rapport aux adversaires, par rapport au terrain. À domicile, il y a le public, l'environnement qui peut faire douter l'adversaire."
"Karim n'est plus là au quotidien, il est parti pour des raisons personnelles. Il faut voir si c'est résilié officiellement. Après, nous avons une marge, par rapport à la DNCG, au tribunal. Après, ce n'est pas faire venir pour faire venir, comme ce n'est pas faire partir pour faire partir."
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Réédition article du 18/07/2024