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·11. Juli 2025

Girondins. Gérard Lopez : "Je n’ai pas besoin de reconnaissance publique, ni de justifier chacune de mes décisions"

Artikelbild:Girondins. Gérard Lopez : "Je n’ai pas besoin de reconnaissance publique, ni de justifier chacune de mes décisions"

Dans un entretien au média AutoHebdo, Gérard Lopez est revenu sur sa gestion des Girondins de Bordeaux. Il veut croire dans le modèle de trading et la vente de joueur pour financer le club.

Le tour médiatique du président et propriétaire des Girondins de Bordeaux continue depuis l'acceptation du plan de continuation du club (24 juin). Après le JDD, Sud Ouest et ICi Gironde c'est dans AutoHebdo et un entretien orienté sport automobile qui met en lumière la passion de l'homme d'affaires pour le milieu automobile, que le sujet du FCGB a été abordé.


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"J’ai autour de moi un cercle restreint de personnes de confiance"

Gérard Lopez dans Auto Hebdo : "Aucune entreprise ne peut fonctionner durablement en perdant de l’argent. Les supporters pensent souvent qu’il suffit de remettre au pot, encore et encore. Mais ce n’est pas possible. À un moment donné, il faut restructurer, même si cela implique des décisions douloureuses. En France, cela s’est traduit par une double relégation administrative. Ce n’est agréable pour personne, moi le premier, mais c’était nécessaire pour sauver le club à long terme (...) je n’ai pas besoin de reconnaissance publique, ni de justifier chacune de mes décisions. On me pousse à le faire, mais je n’en ressens pas le besoin. J’ai autour de moi un cercle restreint de personnes de confiance, dont l’opinion m’importe réellement. (...) Lorsque le cercle s’élargit trop, ça ne m’intéresse pas."

La formation et la vente des Joueurs pour financer l'activité

Il ajoute "fermement croire au modèle basé sur la formation et la vente de joueurs. Avec l’effondrement des droits TV, ce sera vital. (...) Le seul vrai atout de la France, ce sont ses jeunes. Le vivier de talents est immense, comparable uniquement à celui du Brésil. Ce modèle est le seul viable. Nous, à Bordeaux, nous essayons de reconstruire avec une structure adaptée au futur du football français."

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N.P

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