Décision radicale à Angers, Le Havre fait le ménage... Le Mercato en L1 s'active ! | OneFootball

Alors que le HAC annonce le départ de trois joueurs, le SCO fait un choix très fort dans son marché des transferts estival.

La date approche jour après jour et les clubs de Ligue 1 préparent progressivement leur plan. Les cadors vont recruter très fort, tandis que le milieu de tableau aura un peu plus de mal, notamment pour certains clubs en déficit clair et net. Les prochains passages à la DNCG seront cruciaux, et pour Le Havre et Angers, tout se jouera à la mi-juin. Le HAC, positionné en tant que l’un des plus petits budgets de l’élite, avait dû faire face à une décision de l’institution en novembre dernier : alléger la masse salariale. La situation n’est pas simple dans ce club puisque ce dernier touche 5 millions d’euros de droits TV, très peu comparé à d’autres comme Lille, Rennes ou même Lens.

Dans ce contexte, Le Havre a annoncé trois départs dans l’effectif, visant principalement des éléments prêtés.

Un ancien du PSG de retour en Angleterre

Le week-end dernier, Le Havre n’y est pas allé de main morte. Sur X, trois communiqués de départs ont été partagés concernant trois prêts, dont celui de Timothée Pembélé, ancien du PSG et actuellement à Sunderland, Ilyes Housni, joueur de la capitale, et Junior Mwanga du RC Strasbourg.

Le prochain exercice sera complexe dans l’équipe en raison de l’encadrement salarial toujours effectif, notamment dénoncé par les dirigeants. " On a des discussions avec certains joueurs (Josué Casimir, Mathieu Gorgelin), mais ce n’est pas toujours facile. Il faut faire comprendre à des garçons arrivés avec des contrats élevés il y a deux ans que leurs salaires peuvent être divisés par deux, voire trois" expliquait récemment Matthieu Bodmer à nos confrères de L’Équipe.

Le plan du SCO

Toujours en Ligue 1, Angers se dirige vers le sens des arrivées. Le club est en déficit financier de plus de 10 millions d’euros et se voit obligé de prendre un cap pour ce mercato, par dépit. " Il n’y aura pas de transferts payants sur les postes qu’on recherche " annonce le propriétaire Saïd Chabane à Ouest-France. " On n’a pas les moyens aujourd’hui" .

Une triste situation pour ces deux écuries de l’élite qui se retrouvent donc à utiliser des stratagèmes très limités dans leurs recrutements.

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