Ancien de Ligue 2 – Laurent Peyrelade se remémore ses meilleurs souvenirs à Rodez et espère en vivre d’autres | OneFootball

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·29. November 2024

Ancien de Ligue 2 – Laurent Peyrelade se remémore ses meilleurs souvenirs à Rodez et espère en vivre d’autres

Artikelbild:Ancien de Ligue 2 – Laurent Peyrelade se remémore ses meilleurs souvenirs à Rodez et espère en vivre d’autres

Entre 2015 et 2022, Laurent Peyrelade sera passé par toutes les émotions du côté de Rodez, mais surtout de grandes joies avec notamment deux montées et des maintiens successifs en Ligue 2 dont il est aujourd’hui toujours très fier ! Dans un bel entretien accordé à nos confrères de 13heuresfoot, le coach passé par Versailles après son expérience ruthénoise avoue qu’il n’a pas d’appréhension pour l’avenir et qu’il espère pouvoir à nouveau connaître une expérience telle qu’en Aveyron.


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« Mon meilleur souvenir, c’est la saison de National avec Rodez, quand on monte en Ligue 2 (2018-2019), on a la sensation d’être imbattable, avec un groupe de joueurs exceptionnel […]. Des très bons moments de vie partagés, il y en aura d’autres. Après, j’en ai eu des moments comme ça, comme quand on se maintient avec Rodez à Bastia à la dernière journée (mai 2022) en gagnant 1-0 à la 90e. Ça, c’est un moment de bonheur partagé, c’est fluide, c’est limpide, c’est calme, c’est zen. Voilà. Tout se passe dans le bon ordre, comme tu l’avais pensé, tu le fais avec tes joueurs, tes enfants, ta famille, tes proches, ton épouse… Je suis en quête de ça. Mais si cela n’arrive pas, ce n’est pas grave. »

« On ne se rend compte que l’aventure a été longue que lorsque l’on se retourne. Tant que je me sens bien, tant que je suis en équilibre, que le travail marche, que l’on n’est pas au bout de ce que l’on pourrait faire, il n’y a pas de raison d’aller voir si l’herbe est plus verte à côté. On sait toujours ce que l’on quitte, on ne sait pas ce que l’on va gagner. Cela a toujours été ma devise quand j’étais joueur. Je suis conscient que l’équilibre est fragile, que c’est compliqué de travailler dans la continuité avec des dirigeants, avec des joueurs aussi, parce que parfois, ce ne sont pas que les dirigeants qui prennent la décision de se séparer d’un entraîneur. »

Photo Alexandre Dimou/FEP/Icon Sport

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